Yves Carignan Président - D.G. Dessins Drummond Inc. |
Blogue en PlanArchitecture, Gestion, Conférences, Stratégies, Affaires, Actualité |
Ce soir, lors du souper familial, ma grande fille de 13 ans me parlait d’un travail qu’elle aura à effectuer dans le cadre de son cours de français. Comme bon père de famille, je lui demande en quoi consistera ce travail ? Elle me dit qu’elle doit répondre à des questions suite à la lecture d’un texte sur le réchauffement planétaire… Elle me dit également avoir été horrifiée par ce qui nous attend si nous ne faisons rien …
Ceux qui me connaissent savent que je ne crois pas un traite mot de ce réchauffement climatique causé par les GES et j’en ai parlé dans ce blogue auparavant soit ici et ici. J’ai alors dit à ma grande fille de ne pas trop s’en faire car les scientifiques ne s’entendent même pas entre eux alors, nous n’avons aucune preuve de ce fait. C’est là qu’elle a mis son caractère oppositionnel en fonction et elle s’est mise à m’obstiner… Jusque là, rien de trop différent de nos soupers habituels!
Pendant que je me mets en rogne parce que le corps professoral devrait apprendre à nos jeunes à se développer un sens critique et à débattre de sujets les touchant directement plutôt de les endoctriner avec des textes qui ne montrent qu’un seul côté de la médaille, je me suis dit que j’allais discuter de tout cela avec mon ado et lui montrer qu’il y a deux côtés à une médaille ! J’ai fouillé le Web et j’ai trouvé ce bijou !!!
Une vidéo britannique de 1h15 minutes qui vous démontrera que l’on s’est fait berner depuis plus de 10 ans avec cette folie de GES et de réchauffement planétaire ! Je me demande pourquoi nos médias n’ont pas présenté cette vidéo ?… Al Gore n’a pas l’air très brillant avec son film apocalyptique sur le réchauffement de la planète !… Je vous le dit, lâchez les téléromans et regardez cette vidéo !
J’en profite donc pour demander à tous les professeurs du secondaire et du primaire un seul service: au lieu d’endoctriner les jeunes avec VOS croyances personnelles, pouvez-vous SVP leur donner la chance de voir l’autre côté de la médaille ? Favorisez la discussion et le débat; ils feront de meilleurs adultes ! Et dans ce billet, je vous épargne ce que ma fille m’a dit qu’elle a appris à l’école au sujet de Wal-Mart et de Stephen Harper … De la folie pure…
Voici une question reçue:
Bonjour Yves,Je suis en charge du site web de l’Hôtel et Suites le Dauphin que vous connaissez bien j’imagine…! Par le biais de mes fonctions de directeur des ventes, je m’intéresse beaucoup au commerce électronique depuis plus de 3-4 ans. Mes connaissances sont le SEO…Adwords…vente en ligne..connaitre le ROI de mes campagnes…mailing list…et la plupart des fonctionnalités de Google. J’utilise le plus d’open source possible….Je suis à me demander si je devrais m’impliquer dans un réseaux social tel que Facebook. Quel est la meilleure stratégie à prendre ??? Impliquer des employés…client…fournisseur ?? Auto-Promotion ?Je veux me plonger la dedans sans me tirer dans le pied.Nous avons environ 200 visiteurs par jours sur notre site avec un faible taux de rebond…je dois me servir de ses visiteurs pour communiquer avec eux car je ne crois pas être pret pour un blog ou pour l’assistance en ligne..J’ai déja des clips sur YouTube….photos sur Picasa…Flickr et tout les annuaires gratuits possible…!Quel sont vos suggestions ???Commencer par Twitter pour me mouiller ?Merci !
Etienne Aubin
Bonjour Étienne et merci de ta question. Je connais effectivement bien votre Hôtel pour y avoir réservé des salles de réunions et des chambres pour mes clients en visite chez nous. Votre hôtel est très bien.
Au sujet de ta question concernant les différents réseaux sociaux, je dois admettre que, selon moi, le meilleur outil de réseautage est, de loin, le blogue. Ta question est tellement pertinente que même notre consultante Michelle Blanc en traite dans un récent billet ! je t’invite également à visionner cette vidéo d’une conférence que j’ai présentée avec Michelle lors du dernier Webcom; tu auras réponse à une bonne partie de tes questions.
Ce que tu fais présentement ne nuit pas mais d’avoir votre propre blogue relié à ces médias sociaux demeure, selon moi, la meilleure stratégie.
J’espère avoir répondu à ta question et laisse-moi savoir si tu comptes te lancer dans la blogosphère !
Le fait de s’ouvrir au monde Web via un blogue a ses multiples avantages ! J’en ai souvent parlé et je ne veux pas me répéter ! Si vous lisez ces textes, c’est que vous avez de grandes chances d’être blogueur ou de connaître les rouages d’un blogue.
Un des aspects négatifs d’un blogue est de gérer les commentaires indésirables, communément appelés SPAMS. Bien entendu, un bon logiciel anti-spam comme akismet me permet de gérer 99% de ce type de courriels indésirables.
Cependant, certaines personnes utilisent les blogues pour publiciser leur entreprise et/ou service en insérant, pas toujours discrètement, du texte de promotion à l’intérieur de leur commentaire avec pleins d’adresses internet. Cela me met le feu là où je m’assoie et ce n’est pas sur ma chaise…
J’ai eu une expérience aujourd’hui où une personne m’a écrit dans la section « Parlez au Président » et a inséré un message promotionnel de son entreprise qui n’avait rien à voir avec l’objectif de cette ouverture, soit de recevoir des commentaires de la clientèle de Dessins Drummond.
J’ai pris le courriel et je l’ai retourné au destinataire en indiquant clairement que je connais le stratagème, qu’il me fait suer et que je ne veux plus jamais revoir ce genre de texte dans une section dédiée à la clientèle. Voilà ! Pif! Paf! et Paclow!
Quelques heures plus tard, je reçois une réponse très polie d’une dame du nom de Élizabteh Deslauriers qui ne comprend pas ma montée de lait et qui m’explique qu’elle voulait simplement m’informer des promotions de sa magnifique Auberge, La Camarine, située à Beaupré, près de la magnifique station de ski du Mont Sainte-Anne… Elle me dit ne pas être familière avec les blogues et se demande comment interagir avec ce milieu de blogueuses et blogueurs.
À Go!, je me sens looser !!!… Je m’en voulais un peu d’avoir mis en marche mon vilain caractère et mon intolérance légendaire face à une personne qui pensait bien faire ! Je me suis donc excusé et j’ai expliqué à madame Deslauriers que ce genre de publicité de se fait pas sur les blogues. Que la meilleure façon de faire connaître son entreprise dans ce milieu, c’est de bloguer et d’interragir en commentant sur les blogues des autres, sur des sujets qui vous intéressent. Je lui ai cité l’exemple du blogue de Lucie Octeau qui écrit le blogue du Spa Eastman, en guise de comparaison pour une entreprise hôtelière, même si le Spa n’est pas totalement comparable à l’Auberge La Camarine.
Je réitère donc mes excuses et invite mes consoeurs et confrères blogueurs à me donner leur opinion sur ce genre d’approche. Êtes-vous d’accord avec moi ? Avez-vous d’autres commentaires ? Je suis certains que Madame Deslauriers vous lira attentivement et elle ne sera pas seule ! ;o)
Milles excuses encore, madame Deslauriers…
En cette fin du premier trimestre 2009, c’est la confusion la plus totale dans l’industrie de la construction ! Nos nombreux indicateurs nous donnent des tendances différentes mais nous demeurons positifs.
En entrant au bureau hier matin, je mets la main sur une étude de la RBC qui me permet de mieux me situer alors, j’ai décidé de vous en faire profiter et d’en tirer un petit résumé !
On entend de toute part que c’est le temps d’acheter ou de construire une propriété puisque les taux d’intérêts sont à leur plus bas niveau et que le coût des maisons diminue… En même temps, la crise financière fait en sorte que le crédit est plus difficile et que les ménages, ayant crainte de perdre leur emploi car ils regardent trop la télé et ses dramatisations de la situation, ont diminué grandement leurs dépenses et retardent certains projets… Est-ce que ça va bien ou ça va mal ?…
C’est bien beau de voir une maison qui se vendait 235 000$ en 2008 passer à 200 000$ en 2009 mais si les banques sont plus frileuses et que la population de l’achète pas, on demeure au même niveau !
C’est ainsi que le rapport nous démontre que:
– La crise financière mondiale qui a débuté en 2007 via les scandales financiers aux USA a atteint l’économie canadienne au dernier trimestre de 2008
– Nous ressentirons cet effet jusqu’à la mi-2009 selon la RBC… Soyons prudents et disons 2009 au complet !
– Les pertes d’emplois font que les gens sont plus frileux et l’accès au crédit est aussi plus difficile
– Au niveau immobilier, malgré une légère baisse des prix, il est encore très coûteux d’acquérir une maison
– Janvier et Février furent des mois plus difficiles dans l’industrie mais Mars reprend le dessus
– L’indice d’accessibilité à la propriété, quant à lui, est redevenu favorable; cet indice mesure la proportion du revenu avant impôts qu’un ménage doit consacrer aux coûts de possession d’une propriété. Un indice de 50% veut dire que les ménages moyens doivent attribuer 50% de leur budget au coût de la propriété (hypothèque, taxes, entretien, etc)
Cet indice diminuant, cela veut dire que les gens ont plus de chances d’accéder à la propriété car une plus petite proportion de leur budget est nécessaire pour acquérir une maison. Ce sont de bons signes mais…
Selon moi, le meilleur indice d’une économie en santé est celui de la confiance des consommateurs et des dirigeants d’entreprise. L’indice des consommateurs américains oscille beaucoup et celui des canadiens s’est détérioré. Quant à celui de la confiance des dirigeants d’entreprises canadiens, elle est à son plus faible niveau…
Êtes-vous situés maintenant ?… pas moi ! Je crois que l’on peut résumer en disant que nous devons regarder en avant et travailler au maximum pour redresser notre situation québécoise et canadienne. On pourrait regarder des chiffres et des graphiques pendant un an et on ne verrait pas les bonnes opportunités passer ! C’est ce que j’ai compris…
En temps de récession ou en temps de croissance, il y aura toujours des opprotunités et il faut saisir les meilleures. Trop souvent, on prend la récession comme un moment où rien ne va plus et que nous devons tout arrêter. Au contraire, saisissez les opportunités pendant que les autres attendent!
Comme un de mes professeurs d’économie au CÉGEP, Raymond Munger, ce souverainiste convaincu (!), me disait: « En récession, investis ton argent dans une entreprise qui fabrique de la « baloney« ; c’est le seul moment que leurs ventes montent car les gens délaissent le steak et le filet mignon en période difficile ! » Bel exemple d’opportunités !
En passant, regardez la courbe de l’action de MacDonalds depuis 2 ans… C’est mieux que les baisses de 30% de la majorité !…
Voici une question dans la section « Parlez au Président »:
« Bonjour monsieur Carignan,
Je travaille présentement à la rédaction d’un projet de mémoire traitant de la transparence en ligne via les médias sociaux.
Plus précisément, ma problématique se situe au niveau de la transparence en ligne, un concept qui est à la fois la clé du succès d’une campagne marketing utilisant les médias sociaux et le frein premier pour ne pas s’y aventurer. À ce sujet, tous les spécialistes parlent de l’importance d’être transparent dans les communications via les médias sociaux, par contre, personne ne s’entend sur ce qu’est concrètement cette transparence et quelles en sont ses limites.
Je m’intéresse ainsi aux entrepreneurs québécois qui utilisent le blogue d’entreprise comme moyen de communication marketing et qui ont été confrontés de près ou de loin au concept de transparence. Le but de mon mémoire et de définir le concept de la transparence en ligne via le blogue d’entreprise et de faire ressortir les limites de ce concept.
Je vous écris, parce que vous avez un blogue d’entreprise. Je me demandais si vous êtes en mesure de participer à mon projet de mémoire en m’accordant une entrevue à ce sujet. L’entrevue pourra se faire en mai ou en juin.
Si vous avez des questions ou des commentaires, ne vous gênez pas.
En attendant de vos nouvelles
Au plaisir,
Karine Vezeau
www.vezoblog.com
Vezart@mac.com »
Quel beau sujet ! Pour répondre à votre question, je participerai avec plaisir à votre projet de mémoire et je vous promets une transparence digne de mention ! Jusqu’à quel point doit-on être transparent ?… C’est une excellente question et ma réponse la plus transparente serait la suivante:
« Une personne ou une entreprise qui se sert des médias sociaux comme outil de marketing doit amener son niveau de transparence aussi loin que possible, tant que certains intervenants n’en sont pas lésés de manière injuste »
Par exemple, si un client vit un problème avec sa construction et qu’il nous contacte en nous disant qu’il y a des erreurs sur le plan et que, suite à une vérification, nous sommes effectivement dans l’erreur, le Mea Culpa doit se faire. Si, par contre, il n’y a pas d’erreurs mais que le vice vient de l’incompréhension de l’entrepreneur sur un des aspects du plan, je ne crois pas que ce fait doit être rapporté directement et ainsi nuire à la réputation de l’entrepreneur qui n’a peut-être pas fait exprès.
Cependant, tout peut se dire dans la classe et le respect. De mon côté, je me suis fais un devoir d’être ouvert et je le suis, dans la mesure où le client me parle via le blogue (bien entendu) et que cela ne blesse personne injustement.
À date, cette ouverture et cette transparence ne sont pas toujours faciles à gérer mais elles apportent beaucoup de commentaires positifs car les lecteurs sentent que rien n’est parfait et que nous travaillons à améliorer notre offre de service.
Vous savez, dans la gestion quotidienne d’une entreprise, il y a une expression anglophone qui résume bien une des qualités prédominantes d’un bon gestionnaire:
« It’s not WHAT you know… It’ WHO you know ! »
En ce qui me concerne, cela décrit assez bien mon évolution de gestionnaire ! À chaque fois qu’une situation se présente, je me pose toujours la même question: « Qui est meilleur que moi pour m’aider avec ce dossier ? » À date, mes choix sont pas pire ! ;o)
Une de ces personnes qui m’aide énormément est mon mentor dont je vous ai parlé, Jacques Lemoine. Jacques fais partie de notre Conseil de Gestion et est toujours disponible pour me donner un coup de main. Il est un gestionnaire aguerri et sa feuille de route est éloquente. Je résumerai ma pensée en disant que c’est un gestionnaire qui sait comment faire de l’argent ! Dans la soixantaine, d’un franc-parlé jumelé à une carrure de joueur de football, il a redressé de multiples entreprises et a une logique de gestion qui est simple et efficace. Bref, il est imposant dans tous les sens du mot et à chaque fois que j’ai fait ce qu’il m’a dit, ça a fonctionné… À mon grand désarroi quelques fois !!! ;o) Il est mon deuxième père et je me tourne constamment vers lui lorsque vient le temps de prendre des décisions. Merci d’être là Jacques !
Lors de notre dernière rencontre, Jacques m’a remis un document que je veux absolument vous partager. Il a résumé un très intéressant article du Havard Business Review de février 2009 traitant du « Seize advantage in a downturn« .
Voici les principaux éléments en très, très résumé… et en français:
Fondamentaux Financiers: La liquidité est la clé de la survie (Business is cash!), quand les sources de liquidités sont rares et/ou difficiles à obtenir, il faut:
1. Contrôler et maximiser l’encaisse :
– Identifier les entrées et sorties de fonds (Cashflow)
– Produire un rapport hebdomadaire et un rapport de caisse mensuel
– Centraliser, s’il y a lieu, les encaisses des filiales ou des opérations extérieures
2. Contrôler et resserer le crédit
– Segmentez vos clients en fonction du risque que vous courez à les servir (Go fishing where the fishes are!)
– Accordez du crédit seulement aux clients valables et/ou stratégiques
– Évaluez le risque encouru par rapport au profit marginal que vous pouvez anticiper (cela permet de prioriser certains projets qui semblent bons vs les « vrais » bons!)
3. Gérez le fonds de roulement avec la plus grande rigueur
– Réduisez vos inventaires, resserrez la production et vos sources d’approvisionnement
– Réduisez vos recevables et suivez de près l’âge des comptes
4. Optimisez votre structure financière
– Réduisez vos dettes et autres obligations
– Assurez-vous de la disponibilité de sources et lignes de crédit (soyez prévoyants dans vos besoins)
– Identifez des sources de financement d’équité (là aussi, soyez prévoyants ! Évitez d’être à la dernière minute)
La valeur des actions: Une bonne valeur au marché de vos actions par rapport à celle de vos concurrents est essentielle pour attirer des capitaux et ainsi pouvoir profiter des opportunités qui se présenteront. Cela vaut pour les entreprises en bourse mais appliquez ce principe à votre PME et vous en bénéficierez autant!
Informez les investisseurs et partenaires de votre plan d’actions pour contrer la crise. Encore ici, soyez prévoyant car si vous rencontrez un investisseur alors que « le feu est pris dans la cabane », l’inquiétude deviendra le sentiment #1 de vos investisseurs potentiels.
La Gestion des affaires courantes: Des opérations non-contrôlées, des prix de ventes insuffisants (oui! oui!, ça peut arriver!), une structure (overhead) trop lourde, etc. fragilisent vos finances
1. Réduisez les frais et augmentez le rendement
– Éliminez les activités qui ne génèrent ou n’ajoutent pas de valeur
– Revoyez les activités qui ne semblaient pas nécessaires; maintenez le focus sur le rentable à court terme
– Consolidez et regrouper les fonctions et activités pour alléger l’organisation; croyez-moi, ça fonctionne!
– Analysez vos sources d’approvisionnement et questionnez-les
– Examiner les possibilités de sous-contracter les activités moins rentables; conservez les activités à forte valeur ajoutée
2. Réévaluez les sources de revenus
– Réactivez les mesures de rétention de vos clients
– Réalignez votre force de vente et sa bonification de sorte à augmenter vos revenus à cour terme
– Procédez à une nouvelle allocation des dépenses de ventes en vue d’un revenu immédiat
– Pensez à offrir de meilleurs conditions d’achat à vos clients contre de meilleurs prix de vente
3. Réévaluez votre marketing mix et votre stratégie de prix de vente
– Offrez vos produits sous de nouvelles formes, en versions « économiques »
– Identifiez les produits pour lesquels les clients sont prêts à payer le plein prix
– Disséquez vos services et vendez-les « à la carte »
4. Mettez un terme aux investissements prévus et vendez les actifs non-essentiels
– Resserez le budget de capitalisation au maximum
– Débarrassez-vous des actifs dont vous ne pouviez disposer en période « normale »
– Éliminez toutes les activités qui ne font pas partie de votre « core business »
Si vous mettez ces conseils en pratique, vous ferez partie du groupe qui traversera la récession, bien qu’elle soit plus « médiatique » qu’autre chose…
Merci Jacques et je tiens à te dire que je me ferai le plus grand porte-parole de ton livre à venir !!!
Je me permets une « liche » (terme employée par notre consultante préférée, Michelle Blanc , pour désignr une auto-promotion -autoliche- ou une promotion d’un autre – liche tout court- ) pour mon chum Philippe Guay et pour mon collaborateur fiable Paul B. Goulet:
Philippe est un ami de longue date et est Chef de la Commercialisation chez Laura Secord. Nous sommes amis depuis l’université et sommes aussi membres fondateurs de lOmnium Michel Blouin dont je vous ai déjà parlé auparavant. Quant à Paul, il est mon conseiller en relation publique et communication et dirige la firme GO Relations Publiques. Il travaille également avec Philippe sur ses projets au Québec.
Paul m’a fait parvenir un lien qui parle de la promotion actuelle de Laura Secord qui se termine le 12 avril. Je sais, je suis à la dernière minute mais Philippe me pardonnera; nous étions aussi à la dernière minute pour nos travaux de session ! ;o)
En gros, si vous achetez vos chocolats de Pâques dans un des 44 magasins de Laura Secord, ces derniers remettront un pourcentage de leurs profits à Leucan ! Je trouve l’idée géniale et je voulais en faire part à ceux qui, comme moi, iront sans doute chercher leurs chocolats samedi !
Chapeau à Philippe et à Laura Secord pour cette initiative !
Avec plus de 120 000 plans de maisons vendus à ce jour, Dessins Drummond s’est taillé une réputation solide dans le domaine de l’architecture résidentielle et, grâce aux technologies du Web 2.0, nous avons pris bonne note des commentaires de nos clients et avons amélioré notre façon de produire nos plans.
À titre d’exemples, nous avions eu le commentaire d’une cliente qui nous faisait part de sa déception:
« Bonjour j’ai une question pour les experts. Est-ce normal dans une maison à 2 étages comme le modèle 2787 de ne pas être capable de monter nos meubles au deuxième sans enlever la garde d’escalier.
j’aimerais savoir pourquoi c’est impossible? »
Nul besoin de vous dire que cette question nous a surpris !… Après avoir discuté avec la clientèle, elle nous a alors dit qu’elle a eu à enlever sa rampe d’escalier afin de pouvoir monter de gros meubles et une base de matelas queen. Pourtant, notre plan respecte le code national du bâtiment… Que pouvons-nous faire ?
C’est alors que j’ai lancé l’idée, en pleine rencontre pour régler ce problème, que Dessins Drummond devrait se servir de ces commentaires pour aller au delà du Code et des normes de construction afin de s’assurer de la satisfaction entière de notre clienèle. Le dépassement fait partie de nos valeurs d’entreprise, non ? Alors prouvons-le !
L’équipe en place a alors travaillé sur une série d’améliorations qui dépasseront les normes établies dont voici quelques éléments:
Les Corridors:
Les corridors sont, en tout temps, aménagés à 40 pouces de largeur alors que la norme canadienne est de 36 pouces. Cela permettra de faciliter le mouvement du mobilier sans égratigner les murs.
Les Escaliers:
Nous allons éviter les marches d’angle (30 ou 45 degrés) et préconiser des escaliers à paliers afin de faciliter le mouvement du mobilier et ce, sans avoir à défaire les garde-corps de l’escalier, comme a vécu la cliente. L’espace de mouvement dans l’escalier dépassera les normes nationales de même que la largeur des escaliers de sous-sol.
D’autres éléments vous seront présentés sous peu puisque nous avons apportés 8 modifications dépassant les normes.
Lorsque des gens me demandent à quoi ça sert de bloguer, c’est un des avantages ! Je viens d’économiser plusieurs dizaines de milliers de dollars en Focus Group!…
En lançant le lien « Parlez au Président » il y a un peu plus d’un an, je savais que j’allais m’ouvrir à toutes sortes de commentaires provenant de la clientèle de Dessins Drummond et je me suis promis que j’allais tous les publier, bons ou « moins bons »…
À date, je fus chanceux car les commentaires étaient souvent positifs, voire même élogieux ! Je me disais que les choses allaient bien et que nous devions frapper dans le mille. Jusqu’à hier !…
« Je suis très déçu de l’attitude indépendante des gens de la succursale de Longueuil donc j’ai été redirigé par le site internet . J’ai un projet de rénovation d’environ 80,000$ et personne chez vous est disponible pour me rencontrer …….. franchement je ne pensais pas que vous pouviez être si occupé avec la récession a nos portes , vous me forcer a regarder chez vos concurrents et c’est ce que je ferai Merci de m’avoir lu !Pierre Laflamme »
Aucun chef d’entreprise n’aime recevoir ce genre de commentaires, c’est certain. L’important, est de prendre le commentaire du client et d’aller vérifier aux sources.
Notre agence de Longueuil est l’une de nos plus performante et reçoit également son lot de commentaires positifs. Comme rien n’est parfait, je me suis dit que nous devions aller chercher l’information directement à l’agence et trouver des solutions pour ce client.
Selon les informations reçues, M. Laflamme voulait prendre rendez-vous à cette agence et que ses disponibilités n’étaient que le week-end. En contrepartie, les dirigeants et employés de l’agence travaillent le jour et 2 ou 3 soirs par semaine, sur rendez-vous, afin de servir la clientèle qui ne peut être disponible le jour. Étant, comme moi, des parents de jeunes enfants impliqués dans de multiples activités de fins de semaine, ils tentent de consacrer leurs week-ends à la famille et ne sont donc pas ouverts les week-ends. La fameuse conciliation travail-famille !…
Jusque là, on ne peut trop les blâmer. C’est certain que l’on pourrait organiser l’horaire en fonction de la clientèle qui aimerait nous rencontrer le week-end (Partager les week-ends entre employés, faire des cas spéciaux) mais, comme je me suis fait dire, cela comporte son lot de problèmes:
Toutes ces belles explications ne règle cependant pas le problème de M. Laflamme et nous devons lui proposer des solutions. Il n’est pas évident pour les gens qui ne peuvent se libérer la semaine, tant le jour que le soir, d’obtenir des services professionnels. Voici donc deux propositions qui furent envoyées à M. Laflamme:
Sachez, M. Laflamme, que je comprends votre situation. Nous voulons servir les clients le mieux possible mais certaines contraintes nous empêchent de tous les satisfaire et votre situation en est l’une d’elle.
Je souhaite de tout coeur que mes 2 propositions puissent vous être utiles et espère pouvoir vous compter parmi nos clients de Rénovation.
J’apprécierais obtenir vos commentaires si le coeur vous en dit.
MÀJ du 10 avril 2009:
Suite à un échange de courriels avec M. Laflamme, ce dernier m’a fait part de quelques détails concernant les conversations avec notre agence. En gros, M. Laflamme désirait un rendez-vous de soir et la réceptionniste lui a répondu que, les soirs où il était disponible, nous ne pouvions le rencontrer avant quelques semaines. Comme il désirait avancer son projet rapidement, il a demandé une autre solution, ce que nous ne lui avons pas fourni.
Dans ce genre de situation, il est primordial de questionner le client au lieu que ce soit lui qui nous questionne; cela démontre un intérêt envers lui et cela nous permet d’aller chercher des informations pouvant nous aider à mieux le servir.
J’ai donc fait mon Mea Culpa à M. Laflamme et demandé à la direction de l’agence de Longueuil de corriger cette situation avec la réception.
Le blogue nous permet de nous améliorer ! Merci M. Laflamme de vos commentaires.
Toute entreprise doit « donner au suivant » et encourager les levées de fonds touchant de près ou de loin ses activités, son territoire. C’est une façon bien naturelle de remercier la clientèle et cela procure un sentiment de fierté à l’entreprise donatrice et ses employés.
De mon côté, je favorise toujours les causes touchant les enfants (Leucan, Sports, etc) et la santé de notre population. Comme on ne peut donner à tout le monde, il est important de choisir les causes qui nous touchent et qui aident vraiment la communauté.
Cette année, Dessins Drummond est fière de participer, entre autre, à la Campagne de financement de la Fondation Hôtel-Dieu de Lévis en offrant gratuitement les plans détaillés du chalet qui sera construit par Maître Constrcuteur St-Jacques et offert à la Fondation pour fins de tirage.
Nous sommes fiers de nous joindre à vous et continuez votre excellent travail !