
Cet après-midi, j’ai eu un bijou de texte proposé par mon ami Serge Guillot, un consultant en gestion, qui va comme suit:
« Un professeur d’économie dans un collège a annoncé qu’il n’avait jamais eu un étudiant qui avait failli son cours mais il s’est retrouvé à faillir une classe entière récemment. La classe entière avait insisté pour dire que le socialisme fonctionne et que, par conséquent, personne ne serait ni pauvre ni riche. Un égaliseur extraordinaire.
Alors, le professeur annonça : « D’ACCORD ! nous allons tenter une petite expérience en classe ».. Je prendrai la moyenne de toutes vos notes. Vous aurez alors tous la même note, personne ne faillira ni n’aura un A…. ( En remplaçant les dollars par des notes, on aura un résultat plus concret et mieux compris par tous).
Après le premier examen, les notes furent moyennées et tout le monde obtint un B. Ceux qui avaient étudié fort étaient déçus et ceux qui avaient étudié peu étaient ravis. Lors du deuxième examen, ceux qui avaient étudié peu, étudièrent moins et ceux qui avaient étudié fort décidèrent de prendre la route du peuple libre et étudièrent peu.
La moyenne du deuxième examen fut un D! Personne n’était content.
Lors du troisième examen, la moyenne fut un F.
Pendant les examens ultérieurs, les notes ne montèrent jamais, les pointages de doigts commencèrent, les jugements dominaient les conversations et tout le monde se sentait mal. Personne ne voulut étudier pour le bénéfice de l’autre.
À la grande surprise de tout le monde, ils faillirent tous. C’est alors que le professeur déclara que le socialisme était pour faillir ultimement car lorsque la récompense est grande, l’effort pour réussir est grand aussi. Mais lorsque le gouvernement enlève toutes les récompenses, personne ne fournira l’effort ni voudra réussir.
Cela ne pourrait être plus simple.
Les 5 phrases qui suivent sont possiblement les meilleures conclusions sortant de cette expérience:
1. Vous ne pouvez pas ordonner aux pauvres d’obtenir le succès en ordonnant aux riches de ne plus en avoir (pensez à ce qui se passe présentement avec les Desmarais…);
2. Ce qu’une personne reçoit sans avoir à travailler , une autre personne doit travailler sans en recevoir la récompense;
3. Le gouvernement ne peut donner quelque chose à quelqu’un sans l’avoir enlevé à quelqu’un d’autre auparavant;
4. Vous ne pouvez pas multiplier la richesse en la divisant;
5. Lorsque la moitié du peuple perçoit l’idée qu’ils n’ont pas besoin de travailler car l’autre partie va s’occuper d’eux et lorsque l’autre moitié comprend que ça ne vaut pas la peine de travailler car quelqu’un d’autre récoltera ce qu’ils méritent par leur efforts, cela est le début de la fin de toute une nation. »
J’aime bien quand la vie nous donne de ces exemples aussi simples et efficaces!… Que cette histoire soit vraie ou non, le point est qu’aucun système n’est parfait et qu’une chose est certaine, la règle du « tout le monde égal » engendre la médiocrité.
Favorisons l’excellence tout en aidant ceux qui en ont besoin… Pas ceux qui ne travaillent pas, ceux qui ne peuvent pas travailler!! 🙂
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le lundi, 4 juin, 2012 at 13:39 et est classé dans Actualités, Opinion.
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12 juin, 2012 at 10:22
C’est drole, je suis en accord avec les 5 conclusions:Les 5 phrases qui suivent sont possiblement les meilleures conclusions sortant de cette expérience:
1. Vous ne pouvez pas ordonner aux pauvres d’obtenir le succès en ordonnant aux riches de ne plus en avoir. NON, IL FAUT DONNER UNE CHANCE ÉGALE AUX RICHES ET AUX PAUVRES D’AVOIR DU SUCCÈS, DONC DES FRAIS DE SCOLARITÉ RAISONNABLES!
2. Ce qu’une personne reçoit sans avoir à travailler , une autre personne doit travailler sans en recevoir la récompense. C’EST VRAI, LE MONDE ORDINAIRE TRAVAILLE POUR LES BANQUIERS, FINANCIERS ET SPÉCULATEURS QUI REÇOIVENT SANS TRAVAILLER.
3. Le gouvernement ne peut donner quelque chose à quelqu’un sans l’avoir enlevé à quelqu’un d’autre auparavant. C’EST VRAI AUSSI, QUAND LE GOUVERNEMENT SUBVENTIONNE LES PÉTROLIÈRES OU DONNE NOTRE ARGENT À LA CORRUPTION, C’EST À NOUS QU’IL ENLÈVE L’ARGENT
4. Vous ne pouvez pas multiplier la richesse en la divisant! NON, MAIS ON NE MULTIPLIE PAS LA RICHESSE EN LA DONNANT À UNE SEULE PERSONNE
5. Lorsque la moitié (PAS LA MOITIÉ, MAIS LE 1% DE BIEN-NANTIS) du peuple perçoit l’idée qu’ils n’ont pas besoin de travailler car l’autre partie (NOUS LE PEUPLE ORDINAIRE) va s’occuper d’eux et lorsque l’autre moitié(NOUS LE PEUPLE ORDINAIRE) comprend que ça ne vaut pas la peine de travailler car quelqu’un d’autre (LE 1%)récoltera ce qu’ils méritent par leur efforts, cela (LE CAPITALISME SAUVAGE)est le début de la fin de toute une nation.
12 juin, 2012 at 13:15
Bonjour M. Tremblay,
Merci du commentaire et je dois avouer que j’ai trouvé ça bien ! 🙂
Je me permets également mon grain de sel afin de mousser le débat!
1. D’accord avec vous! Nos frais sont les plus bas en Amérique du Nord et le professeur Godbout a prouvé que les offres du gouvernement sont adquates dans le contexte! Quelqu’un qui veut VRAIMENT étudier, au Québec, peut y aller!… Si l’argent est un obstacle, il ne pourra étudier nulle part en Amérique… Peut-être Cuba mais s’il sort manifester avec sa casserole, il constatera que les policiers québécois sont tolérants!
2. De dire que tous les gens d’affaires sont des banquiers, financiers et spéculateurs, vous êtes dans l’erreur! Les gens d’affaires aussi sont à la merci des banquiers et des gouvernements!… Et le monde ordinaire est syndiqué à 60% au Québec avec des fonds de pensions qui investissent dans les banques et les grandes méchantes pétrolières!… Soyons conséquents dans notre discours! Je suis en affaires et je n’ai aucun fonds de pension! Je m’arrange avec mes affaires et j’en suis très heureux! Et mes employés sont payés adéquatement.
3. D’accord avec vous sur ce point ! J’enlèverais les subventions et diminueraient les impôts aux entreprises qui investissent (emplois et développement) chez nous. Quant à la corruption, personne ne peut l’approuver mais elle fait partie des moeurs politiques de tous les systèmes, malheureusement. Ce gouvernement doit payer pour ses excès! On s’entend! 🙂
4.Je ne vois pas l’argument dans votre point mais une chose est certaine: favorisons la création de la richesse par des gens capables de le faire et tout le monde s’en portera mieux. On partagera cette richesse par la suite.
5. Faudrait s’entendre sur le terme « Capitalisme Sauvage » car je crois que nous n’aurons pas la même sensibilité à ce niveau. Si vous enlevez le 1% de bien nantis (Comme vous dites) vous allez vous retrouver dans cette situation (http://www.yvescarignan.com/2009/07/01/cours-de-fiscalite-avec-une-biere/) et ce n’est pas le gouvernement qui vous en sortira ! Parlez-en aux Grecs! Ce n’est pas en éliminant les riches que nous nous porterons mieux!
Merci de votre opinion! J’apprécie votre ton respectueux malgré nos divergences. Et nous n’avons pas fini d’en parler! 🙂
12 juin, 2012 at 13:46
Bonjour M Carignan,
J’apprécie moi aussi le ton respectueux qui se raréfie malheureusement de plus en plus sur internet. Mon objection à ce texte se base sur le fait qu’il simplifie à l’extrême dans un but de faire avaler un gros morceau aux gens facilement influençables. Le texte sur la bière est du même style. Si on veut améliorer l’image du professeur et des étudiants, il faudrait faire les ajustements suivants:
Ce qui est décrit, c’est le système capitaliste équilibré, controlé. Le problème actuellement, c’est le déséquilibre, c’est que les plus forts ont une note de A++++++++++++++ alors que les notes moyennes reçoivent des x ou y et les pas bons reçoivent un z. Alors, les gens demandent un peu plus d’équilibre: on pourrait donner des A++ aux super bonnes notes, aussi des b, c ,d la moyenne pourrait être e ou f. La faillite du socialisme a été démontrée, pas mal tout le monde est d’accord. Mais avec le 1% des bien-nantis qui possède 99% des biens, il faudrait aussi tirer la conclusion qui s’impose: le capitalisme sauvage ne marche pas, pas plus que le socialisme. En plus au Québec, on a le problème de la corruption: dans l’exemple de la classe d’étudiant, la meilleure note ne serait pas donnée au meilleur, mais au plus tricheur…
J’oubliais: on peut aussi faire un don au syndicat des professeurs (parti Libéral pour ceux qui n’ont pas compris) et on peut ainsi acheter un diplôme et la super job (contrat) nous est assurée sans effort. Alors, êtes-vous toujours convaincu qu’on a le meilleur système?? Qu’on n’a pas besoin de réclamer du changement?? Pas de démolir la classe, mais redonner l’équilibre aux notes et expulser les tricheurs.
12 juin, 2012 at 13:56
Je suis d’accord avec vous! On doit changer le système mais pas le détruire. Certains discours et personnages me font peur un peu! On doit ramener le balancier, je suis d’accord avec vous.
Cependant, les tricheurs ne sont pas la majorité mais ils doivent être éliminés du jeu rapidement, ce qui n’est pas le cas présentement. Autant les libéraux que le PQ ont des squelettes dans le placard et si la commission fait son travail, on n’a pas fini de sacrer!…
On règle la corruption rapidement, entre autre, par un financement des partis politiques avec des fonds publics (un montant par vote au parti) et les dons privés sont limités, voire éliminés!
On limite les subventions aux entreprises ce qui évitera le copinage de politiciens vs Profiteurs, même si les deux sont trop souvent synonymes! 😉
Favoriser l’effort et les résultats, c’est ce qui nous permettra de grandir!
On s’entend ! 🙂
28 août, 2012 at 17:03
[…] qui s’est passé, je ne peux moi-même l’expliquer! Chose certaine, j’ai vu que mon dernier billet datait du 4 juin alors, je me suis dit qu’il était […]
6 octobre, 2012 at 10:28
À Pierre Tremblay:
1- La seule chance égale que je donne aux pauvres est d’étudier aussi fort que les riches pour avoir leur même réussite. J’ai vu des pauvres s’endetter pour aujourd’hui faire des salaires de plus de 100 000$/année tout en repayant leurs études et même mieux réussir que les enfants des riches dans leurs études. Dans la société d’aujourd’hui, toute personne qui travaille fort où qui veut peut réussir de la même façon. Riche comme pauvre.
2- Les banquiers, les financiers et les spéculateurs recoivent ET travaillent pour leurs acquis. Ce que tu ne sembles pas comprendre, c’est qu’étudier et travailler pour ton boulot te donne non seulement de meilleurs salaires, mais également de meilleurs conditions de travail. C’est pourquoi un ingénieur qui travaille 2x moins longtemps/semaine qu’un contracteur aura le même salaire. Il a fait son temps pendant ses études, cela est mérité.
3- Tu marques un point, mais les « pétrolières » et la « corruption » ne font pas parti de « quelqu’un d’autre ». Par ailleurs, plus de 50% des revenus des pétrolières perçus à la péréquation vont très probablement au Québec.
4- On ne multiplies pas la richesse point. Cependant, ceux qui ont travaillé pour l’avoir méritent de la conserver. Je n’ai aucune pitié pour ceux qui se sont pognés le beinge et espèrent recevoir de ceux qui ont trimmé dur pour leurs gains. sorry.
5- Avec ce que j’ai écris ci-haut, j’espère que tu comprendras que tu as vraiment mal compris l’affirmation #5 dans le texte de M. Carignan.
Il n’y a rien de plus simple comme principe, il n’y a rien de compliqué à avoir là-dedans et à considérer de plus. Cette expérience était parfaite pour le démontrer. Dans la société, la réussite commence par réussir tes études (a part les exceptions, artistes, NHL, NFL etc. on s’entends) car c’est ton pré-requis pour travailler. Et dans une classe d’école publique (ou tout le monde, riche comme pauvre est sur le même pied d’estale), on le voit tout de suite. Il y a ceux qui travaillent pour réussir, ceux qui sont bright et n’ont pas besoin de travailler mais qui réussissent (chanceux), ceux qui veulent pas travailler et qui essaient de profiter de ceux qui réussissent pour réussir et ceux qui veulent pas travailler ni réussir et qui jalousent ceux qui réussissent en se donnant des raisons pour les hair et avoir leurs acquis. C’est la même chose dans la société d’après, no change.
Je ne dit pas que le socialisme ne fonctionne pas. Il fonctionne à merveille… lorsqu’implanté dans une société ou tout le monde travaille et a le désir de travailler pour l’autre et que ce désir se retrouve dans au moins 70% de la population. On voit ça dans les pays scandinaves et ont essaie de comparer cela au Québec qui, malheureusement, n’a pas la même mentalité.
9 octobre, 2012 at 2:06
Ce texte est fabuleux
Bravo
9 octobre, 2012 at 11:20
Ce petit texte refait surface périodiquement depuis les années soixante alors qu’il avait été publié dans le Reader’s Digest. Texte anti-communiste qui pouvait séduire les gens peu informés de l’époque, mais je suis toujours étonné qu’une simplification si exagérée puisse encore trouver des adeptes. Si le professeur représente le système économique, les notes représentent le salaire, les étudiants représentent les salariés, alors tout le monde moindrement informé sait qu’un système économique ne peut pas se limiter à ça. Par exemple, par quoi sont représentés: les taxes et les impôts, les taux d’intérêts, les banques, les gouvernements, les parti politiques, les multinationales, les fortunes familiales et les héritages, les syndicats, la corruption, les subventions du gouvernement, les crises économiques, la bourse et la spéculation, l’aide sociale etc etc.
Une simplification à l’extrême n’est qu’un sophisme, un raisonnement qui cherche à paraître rigoureux mais qui n’est pas valide. Dans ce cas-ci, l’argument est: le communisme est mauvais, donc le capitalisme est bon. Raisonnement simpliste, qui ne peut séduire que des esprits simplistes. Vous m’avez convaincu du premier, le deuxième n’est pas automatique. On ne joue pas aux échecs comme on joue au tic tac toc… Désolé si je suis un peu rude, mais ça devait être dit. Amicalement.
9 octobre, 2012 at 11:29
Peu importe le moment où un texte fut écrit, l’important c’est son message. Sinon, Shakespeare et Molière seraient passés dans l’oubli! 🙂
Si vous me trouvez un endroit ou le communisme ou le socialisme a bien fonctionné (économie, respect des droits de l’homme, développement richesse, etc), vous commencerez à m’intéresser. Sinon, continuez d’aller encourager Castro et ses plages abordables mais cessez de me promouvoir ces systèmes qui datent du début du 20e siècle et qui ont tous éclaté à la fin de ce même siècle… sauf à Cuba…
D’ici là, les simplistes que nous sommes continueront d’engraisser le monstre insatiable qu’est devenu notre « gourvernemaman » pour une portion de notre peuple qui s’ccroche indéfiniement à ses mamelles…
9 octobre, 2012 at 12:11
Si vous m’avez bien lu,je suis d’accord que cette comparaison, que je qualifie personnellement de « simpliste » démontre bien l’échec du communisme. Maintenant, c’est la suite du raisonnement qui m’agace: le communisme et le capitalisme ne sont pas deux contraires et démontrer l’échec de l’un ne démontre pas la réussite de l’autre. Le faux dilemme, ou énumération incomplète, est un raisonnement qui consiste à présenter deux solutions à un problème donné comme si elles étaient les deux seules possibles, alors qu’en réalité il en existe d’autres.
Désolé si je m’exprime un peu rudement, je respecte vos opinions, mais je pense que l’avenir économique du monde n’est pas à Cuba c’est certain, mais ni aux USA et ni en Europe, le capitalisme sauvage l’a démontré. Je pense qu’un retour vers l’économie des « Trente Glorieuses » est une piste de solution vers un meilleur équilibre économique et c’est la dessus que nos points de vue sont peut-être plus proches qu’on pourrait le penser. Moi-même payeur de taxes et d’impôts, je peux sentir et comprendre votre questionnement sur l’insatiabilité du gouvernement. Merci d’ouvrir votre bloge à la discussion et bonne journée!
9 octobre, 2012 at 12:21
Les « Trentes Glorieuses », personne ne sera contre, effectivement! Ce sont des années de fortes croissance qui répondaient à des besoins d’après-guerre de l’époque. Serait-ce faisable de nos jours ? Où l’avons-nous « échappés » ?
Je ne peux répondre mais choses certaine, nous nous rejoignons sur ce point! 😉
Soyez sans crainte pour le ton, je suis assez direct moi-même et ce blogue sera toujours ouvert aux discussions respectueuses!
12 janvier, 2013 at 1:48
[…] Le socialisme expliqué aux étudiants… […]
18 octobre, 2015 at 21:44
Je racontais Récemment cette métaphore à quelques fanatiques de Madame Françoise David, qui accusaient l’élite, et je me suis questionné, à savoir, quel était la différence entre la mentalité des socialistes et de l’élite qu’ils accusent ?
20 octobre, 2015 at 7:44
Bonjour M. Comeau,
Merci de votre commentaire et de votre question qui est excellente !
De ce que je vois et entends autour de moi, le socialisme rejoint un certain élite de notre société qui ne peut « monnayer son savoir » et qui se tourne vers l’état pour « équilibrer » ce qu’ils considèrent comme une injustice.
Je m’explique: j’ai eu quelques discussions avec des gens qui ont une diplomation beaucoup plus élaborée que la mienne (Maîtrise en Art, Doctorat en Musique, etc) mais qui n’ont pas les revenus à la hauteur de leurs attentes. Ils se disent qu’étant plus instruits que la majorité, leurs revenus devraient également être plus élevés que la majorité, ce qui n’est pas le cas car leur savoir et leurs diplômes ne sont pas monnayables dans notre contexte actuel, malheureusement pour eux.
Ils se tournent donc vers un autre système qui, selon leur croyance, viendrait équilibrer cette injustice et ce système est le socialisme qui rémunère les gens également, en tenant compte de leur scolarisation.
C’est la seule piste que je vois, selon mon humble expérience.
Merci !